Je me laisse débordé maintenant avec tous mes affaires : les essais pour université, les examens dans tous mes classes du microéconomiques, la chimie, et bien sûr le français. Malgré cela, je bien travaille sur mon apprentissage de langues. Peut-être en novembre je vais discuter mon plan avec le Chinois et l’Arabe aussi. Mais c’est pour un autre temps.
Cette semaine on a se plongé dans la Quête de soi, découvrant des parties d’une identité visible et invisibles. Après des notes introductives, on écouterait le poème Speak White de Michèle LaLonde, enquêter des langues de Québec. Elle proteste contre la suppression de la langue française au Québec. Elle est passionnée de protéger sa langue. Elle ne veut pas abandonner la langue soi-disant de seconde zone. Sur la clause : Une langue est un dialecte avec une armée et une marine de Max Weinreich, j’aimerais qu’elle a dit : « Pour se vendre à perte d’âme. » Voyant la perte de la langue au Louisiane, les politiciens du Québec a passé le loi 101 de protéger Français au Québec.
Intéressement, maintenant quelques qui ne parle pas du Français craignent que le passage du loi 101 et la nouvelle proposition de loi 96 sera une restriction sur leurs vies. Des monolingues françaises pensent que c’est juste la vérité, l’anglais est où l’argent reste. Les opportunités dans le monde francophones n’est pas suffisant. Selon un rapport de l’office québécois (Montréal), les tiers des Québécois de 18 à 34 ans préfère travailler dans un environnement bilingue. Ils regardent l’anglais comme une langue d’opportunité et égalité dans une carrière. Ou pour les gens autochtones, sa langue Gaha Ghanéen est déjà réprimé. En instituant les régulations dans l’éducation exigeant plus des courses en Français, il met les autres langues natives à risque de devenir éteint, apportant leurs cultures au-dessus. L’éventail a besoin de trouver l’équilibre.
Le prof a aussi prévenu qu’il voudrait d’explorer au-delà les choses stéréotypiques de culture, comme dans l’iceberg de culture. On a traversé un article de la vie quotidienne au Sénégal. Il est évident qu’ils sont une culture hospitalière et accueillante, avec la nourriture et marchés épices et vif. Par-dessus tout, la solidarité et l’entraide, avec des voisins aussi, est courant ; tout le monde est une famille élargie. Personnellement, je pense que ce devoir est un bon aperçu dans la vie d’autre pays et rester informé, quant apprendre plus des cultures francophones. Cependant, il y plus de nuances pour découvrir derrière chaque visage, les choses complexes qui forme un humain.
Pour moi, je pense que mon identité. Vivant dans un pays d’immigrants, mais ils ne sont pas plus bienvenus. Et l’ordre sur les camionneurs de parler anglais tout affecté l’identité. Je me regarde comme un Chinois-Américain, et mes langues sont un plus part de cela. Je suis fier que le français joue un part dans ma vie, en plus mes expériences qui forme ma philosophe et mon caractère. Je désire que plus du monde puissent se comprendre et se respecter leurs opinions, tolérant les différences. Cependant, je suis en accorde avec la citation de Voltaire : « Peut-être je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. » Pensez pour vous-même, et communiquer avec l’autres, utilisant le pouvoir des langages.
L’interro de verbes cette semaine : Appartenir, Maintenir, Obtenir, Contenir